Histoire de la marque Fiat

Après avoir connu des hauts et des bas, l’emblématique Fiat s’en sort beaucoup mieux que dans les années 80. La belle italienne commence toutefois à vieillir et FCA compte bien nous faire découvrir une Fiat rajeunie lors du 90ème salon de Genève, reporté à une date indéterminée. En attendant le jour J, cap sur cette marque centenaire au cursus remarquable, depuis sa genèse jusqu’au présent.  

LA MARQUE FIAT DE 1899 A NOS JOURS

L’histoire de l’empire Fiat remonte à la fin du 19ème siècle, sous l’initiative du jeune visionnaire Giovanni Agnelli. Âgé de 33 ans à l’époque, il a eu le courage de réunir et convaincre 29 banquiers influents et chefs d’entreprise à fonder la première industrie italienne de l’automobile. C’est ainsi que l’acte constitutif de la Société Fabbrica Italiana Automobili Torino, dotée d’un capital social de 800 000 lires, a été signé le 11 juillet 1899.

Les premières années de la marque Fiat

Seulement deux mois après sa constitution, Fiat lance déjà sa première voiture sur le marché : la Fiat 3.5 HP (ou Fiat 3.5 chevaux, Horse Power signifiant « Horse Power »). Elle carbure 8 litres d’essence pour 100 km, dispose d’une boîte de vitesse à 3 rapports et ne peut pas faire marche arrière. Très innovante à l’époque, la Fiat 3.5 HP est un modèle déjà existant créé par le constructeur Ceirano et l’ingénieur Faccioli. Ces deux cofondateurs de Fiat, pour devenir actionnaires, ont vendu à Fiat les actions et les modèles brevetés de leur entreprise Ceirano fraîchement créée en 1898. Fiat a donc pu vendre deux modèles 3.5 HP, alors qu’elle ne dispose pas encore de sa propre usine. Cette dernière sera inaugurée en 1900 dans l’enceinte de la Corso Dante, la seule usine de Turin à l’époque. Fiat y assemble les pièces sous-traitées chez ses cofondateurs et produit 24 autres exemplaires de la Fiat 3.5 HP entre 1900 et 1901.

En 1902, Fiat décide de participer aux courses automobiles et lance sa première voiture de compétition : la Fiat 24 HP Corsa. Celle-ci marque les débuts des années 1900 avec des technologies innovantes et sera produite en 400 exemplaires entre 1902 et 1905. Elle remporte la course Sassi-Superge, tandis que sa sœur 8 HP marque un nouveau record lors de la seconde édition du Giro d'Italia automobilistico (Tour d’Italie en automobile). En tout, neuf voitures Fiat engagées dans cette fameuse Tour d’Italie ont toutes franchi la ligne d’arrivée, faisant ainsi de Fiat une favorite du sport automobile.

Gagnant en notoriété, Fiat tente de conquérir le marché international et diversifie ses produits : véhicules lourds, transports publics, tramways, moteurs marins et aéronautiques, etc. En 1906, sa production annuelle s’élève à 1150 véhicules dont les 2/3 sont destinés pour l’Europe, les États-Unis et l’Australie. Parallèlement, Fiat fait aussi l’acquisition de la société Ansaldi, son concurrent milanais spécialisé dans les voitures légères à 4 cylindres. Le groupe italien continue à grandir et crée la Fiat Motor Corporation aux États-Unis.

En 1910, Fiat renouvelle sa gamme de voitures et adopte la dénomination « Tipo » pour toutes ses nouvelles séries : Tipo 1, Tipo 2, Tipo 3, etc. L’aînée, la Tipo 1, marque le monde automobile avec une motorisation monobloc. Editée à 2521 exemplaires entre 1910 et 1915, elle possède 4 cylindres de 1847 cm3 et génère 15 chevaux.

Fiat pendant la Première Guerre Mondiale

Juste avant la guerre, la dernière voiture produite par Fiat fut la Tipo Zéro, lancée en 1912. A lui tout seul, ce modèle est vendu à 2200 exemplaires en 3 ans. Fiat cesse ensuite de l’éditer en 1915 pour se convertir à la production de guerre : explosifs, mitrailleuses ainsi que les véhicules de guerre. C’était pendant la Première Guerre que la version militarisée du camion Fiat 18 BL est apparue. La toute première Fiat 500 a aussi vu le jour en 1915, bien avant sa seconde vague datant de 1936. Elle est éditée à 1000 exemplaires dont la quasi-totalité est absorbée par l’armée royale. Il s’agit également du premier modèle à abandonner le groupe motopropulseur et à proposer une banquette arrière à 3 places.

Comme toutes les autres usines de l’époque qui ont « militarisé » leur production, Fiat a bien su s’adapter au contexte de guerre. A la fin du conflit en 1918, elle a augmenté son chiffre d’affaires de 80% et compte 40 000 employés. Fiat s’est ainsi hissée à la 3ème place dans la hiérarchie des industries italiennes, outre sa forte notoriété patriotique.

Fiat de 1919 à 1939

L’année 1919 est marquée par le succès du modèle Fiat 501, édité à 4500 exemplaires à travers le monde. Fiat a également établi un nouveau record en parcourant le désert du Sahara avec une colonne de 23 autocars. Ces véhicules, sortis indemnes après 30 000 km de traversée, ont démontré la robustesse de la marque Fiat.

Lorsque le sénateur Giovanni Agnelli devient le président de la société Fiat en 1920, il a révolutionné son industrie avec le « fordisme ». Il s’agit d’un travail organisé sur la production en série, les chaînes de montage et les primes de productivité. Il a eu cette idée lors de sa visite dans les établissements Ford, aux États-Unis. Convaincu de l’efficacité technique et économique de leur système de production, il décide aussi de l’appliquer lors de son retour en Italie. Au bout de quelques mois, Fiat est devenu un modèle de fordisme dans toute l’Europe.

En 1922, Fiat inaugure l’usine du Lingotto, la plus grande dans toute l’Europe. Établie sur une superficie de 153 000 km2, elle s’élargira encore à 350 000 m2 en 1925.

La firme produit également quelques modèles dans les années 20, dont les plus célèbres sont la Tipo IT, la Fiat 520 Super Fiat, la Fiat 509, la Fiat 806 Corsa et la haut de gamme Fiat 519. La Tipo IT, spécialement destinée aux taxis, est très prisée en Italie comme à l’étranger.

L’usine redonne aussi naissance à la Fiat 500 en 1936, un modèle déjà existant depuis 1915 mais absorbé par l’armée pendant la guerre. Rebaptisée « Topolino » (Souris) à cause de sa petite forme arrondie, la nouvelle Fiat 500 connait un succès immédiat et sera produite à 510 000 exemplaires entre 1936 et 1955.  

En 1939, Fiat inaugure un autre établissement, la Torino Mirafiori, plus petit que celui du Lingotto avec sa surface d’1 km2. La même année est aussi marquée par le lancement de la Fiat 1100 Musone dérivée en plusieurs versions : berline, berline longue, coupé et cabriolet. La deuxième série, dotée d’un toit ouvrant avec capote, permet de découvrir tout l’habitacle. Elle gardera ce style populaire pour tous ses 7400 exemplaires édités pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Fiat pendant et après la Deuxième Guerre Mondiale

Pendant l’ère du fascisme italien dans les années 30, le sénateur Giovanni Agnelli rejoint le Parti National Fasciste de Benito Mussolini. Fiat obtient ainsi presque tous les marchés publics et militaires. En 1938, Fiat dispose déjà de plusieurs usines en Europe, aux États-Unis et en Asie. Elle compte 50 000 employés à travers le monde et s’impose comme une figure de l’économie italienne.

Lorsque la Seconde Guerre éclate le 1er septembre 1939, Fiat est contrainte de suspendre la fabrication de nouveaux modèles pour se consacrer aux équipements de guerre. La firme maintient alors sa survie en produisant pour toutes les parties : les fascistes, les nazis et les alliés. Ainsi, même si la majorité de ses installations en Europe ont été bombardées, elle sort presque indemne de cette période difficile.

A la fin de la guerre en 1945, Fiat reprend la fabrication de voitures et devient beaucoup plus forte que toutes ses rivales italiennes. En revanche, Giovanni Agnelli est accusé de collaboration avec le régime fasciste. Comme son expert-comptable Vittorio Valletta a déjà prévu cette accusation, il a pris le soin de négocier avec les américains et les autres troupes alliés pour éviter la sanction de l’« épuration ». Agnelli est donc acquitté des accusations sous la pression des alliés, mais il n’a pu assister à son procès car il est décédé quelques mois auparavant (toujours en 1945).

A la mort de son père, Edoardo Agnelli n’a que 9 ans et ne peut pas encore prendre les rênes. Valletta succède ainsi à Agnelli et dirige Fiat avec brillance jusqu’à sa retraite en 1966. Fiat produit à grande une vingtaine de modèles à succès dont la Fiat 124, la Fiat 500 Lusso et la fameuse Dino.

C’est Gianni Agnelli ou l’« Avvocato », petit-fils du sénateur Giovanni Agnelli, qui préside Fiat dès 1966. Fiat domine le marché et vend environ 1 million de véhicules en 1968 dont 542 000 à l’étranger. Le succès grimpe à 1 750 000 de modèles vendus en 1969. Quant aux autres industries italiennes, vaincues par la crise économique au fil des années, elles viendront la rejoindre tour à tour : Magneti Marelli en 1967, Autobianchi en 1968, Lancia et Ferrari en 1969, Abarth en 1971, Alfa Romeo en 1986 et Maserati en 1993. La société Fiat est ainsi devenue, en quelques années, le plus grand constructeur automobile européen.

Fiat pendant les années 80 et 90

Fiat a su surmonter la crise pétrolière des années 70 et continue à produire des modèles dont la Fiat Panda (1980), l’Argenta (1981), la Regata (1983), la Uno (1984), la Croma (1985) et la Tipo (1988). Même si la Tipo est élue « Voiture de l’année 1989, le succès commercial de Fiat commence à péricliter en début des années 90. Fiat résiste tant bien que mal et lance encore une quinzaine de modèles de 1990 à 1999 :
1990 : Fiat Tempra
1991 : Fiat Cinquecento.
1993 : Fiat Punto et Fiat Punto Cabrio.
1994 : Fiat Ulysse
1995 : Fiat Barchetta : stylée, sportive et confortable en parcours mixte. Groupe motopropulseur de 1800 cm3 à 16 soupapes. Vitesse maximale de 200 km/h.
1995 : lancement des Fiat Bravo et Brava. Les 2 modèles, à tendance sportive, ont des dimensions et design différents malgré leur matrice commune.
1996: Fiat Marea et Fiat Marea weekend.
1997 : Fiat Palio weekend, une familiale fabriquée dans plus de 20 pays.
1997 : Fiat Marea Bipower, un modèle unique avec une double installation d’alimentation (essence et méthane).
1998 : Fiat Seicento, uniquement fabriquée en Pologne.
1998 : Fiat Sien
1999 : Fiat Multipla
1999 : Fiat Punto II.

Les modèles Brava et Bravo, élus « Voiture de l’année 1996 », sont édités à 1 235 496 exemplaires de 1996 à 2001. Par contre, Fiat peine à réaliser un bon chiffre de ventes pour les autres modèles. La clientèle reproche à Fiat la manque de fraîcheur et l’utilisation de matériaux de moindre qualité, outre la tenue de route et le freinage jugés moyens par rapport à ceux des concurrents.

Et comme un malheur ne vient jamais seul, Giovannino Alberto Agnelli décède prématurément en 1997. Ce brillant homme d’affaires, supposé succéder à son oncle Gianni Agnelli, dirigeait avec succès la société Piaggio. Le fils du sénateur Giovanni Agnelli, Edoardo Agnelli, meurt aussi décapité par l’hélice de son hydravion 3 années plus tard (en 2000).

Affaiblie par la chute de son chiffre d’affaires, Fiat cherche une alliance avec General Motors en 2000. L’italienne devient alors actionnaire minoritaire du géant américain avec seulement 6% du capital, tandis que celui-ci détient 20% du capital chez Fiat Divisions Automobiles. La firme tente de lancer la Fiat Stilo en 2001, supposée remplacer les Bravo et Brava mais sans succès. Quant à la Fiat Doblo, sortie en 2002, elle n’arrive pas à concurrencer la Renault Kangoo de Renault et la Citroën Berlingo.

Avec une perte de 1,7 milliards de CHF et un surendettement à plus de 15 milliards de CHF, le groupe Fiat se retrouve en prime sous la coupe de General Motors. Les Agnelli, devenus des actionnaires minoritaires, feront également face au décès de l’« Avvocato » en 2003 puis celui de son frère Umberto Agnelli en 2004.

La dynastie Agnelli touche donc à sa fin et les têtes dirigeantes de Fiat décident de restructurer leur équipe. Luca Cordero Di Montezemolo, le patron de Ferrari, est alors désigné pour présider Fiat. John Elkann, le seul membre des Agnelli à rester au pouvoir, en est le vice-président. La direction générale, quant à elle, est confiée à l’illustre Sergio Marchionne.

Fiat sous le règne de Sergio Marchionne

Lorsque Sergio Marchionne devient le directeur général du groupe Fiat le 1er juin 2004, il a pour « mission impossible » de redresser un mastodonte agonisant. Marchionne inspecte les vestiaires, ateliers et bureaux d’études pendant 40 jours. Pour réduire les coûts, il décide de licencier les cadres (et non les ouvriers) qu’il juge à l’origine des mauvaises décisions. Les activités médias (RCS Media Group) seront également suspendues mais la mesure la plus dure reste celle de la fermeture de l’usine de Termini Imerese. Marchionne pense que les locaux, où la Lancia Ypsilon est assemblée, n’est pas assez compétitive vu sa géolocalisation. Le nouveau patron relance par contre la bonne vieille Fiat 500 en 2007 et multiplie les partenariats technologiques.

Fiat gagne en stabilité pendant que l’industrie automobile souffre sous la crise financière mondiale de 2007 à 2011. Fiat absorbe ainsi d’autres marques comme Dodge en 201, la serbe Zastava en 2008 et l’américaine Chrysler en 2009 puis en 2014. C’est ainsi que depuis l’accord signé le 1er août 2014, le groupe Fiat devient Fiat Chrysler Automobiles ou FCA. Comme la légendaire marque Jeep appartient à Chrysler depuis 1987, elle offre à FCA une grande opportunité pour conquérir le marché américain.

Toutefois, les solutions de redressement imposées par Marchionne ne plaisent pas à tout le monde. Luca Cordero di Montezemolo, le PDG de Ferrari, s’y est opposé si bien qu’il démissionne et cède la place à Marchionne le 13 octobre 2014.

Outre l’incontournable Fiat 500 éditée à 2 millions d’exemplaires entre 2007 et 2019, Fiat produit de nombreux autres modèles à succès. Il en est ainsi de :

  • la Jeep Renegate,
  • la SRT Viper,
  • LaFerrari,
  • l’AlfaRomeo 4C,
  • La Dodge Challenge Hellcat,
  • La Jeep Renegate,
  • La Chrysler Pacifica.
  • La Maserati Levante
  • La Dodge Challenger SRT Demon.

Quand Sergio Marchionne prend sa retraite en 2017, FCA accumule un bénéfice net de 3,78 milliards de CHF. Les dettes qui s’élevaient à 15 milliards de CHF en 2003 sont également ramenées à 1.4 milliards dès mars 2018. C’est déjà un véritable exploit mais Marchionne espère encore la ramener à zéro avant juin 2018. Il n’aura pourtant pas le temps de donner plus de conseils à Michael Manley, son successeur, puisqu’il tombe malade et décède le 25 juillet 2018.

Marchionne laisse derrière lui une FCA enrichie et bien ancrée dans les Top 10 des constructeurs mondiaux. En 2019, Fiat enregistre 4,42 millions d’unités vendues à travers le monde et se classe en 8ème position, devant PSA. Les fiançailles FCA-PSA sont annoncées en décembre dernier et, si les 2 arrivent à conclure un mariage, leur union les propulsera dans les Top 5 en 2020. Ce projet a de quoi faire trembler des géants comme General Motors (7,72 millions de vente) et même Renault-Nissan-Mitsubishi (10,16 millions de vente réalisées en 2019 et classée au 3ème rang).

LES MODELES FIAT DISPONIBLES SUR LE SITE CONSTRUCTEUR

Les tarifs et offres annoncés ici viennent du site officiel de Fiat. Ils sont donnés à titre indicatif et peuvent changer en fonction des actualités.

Gamme de citadines et familiales :

  • La Fiat 500 accessible à partir de 15 600 CHF,
  • Le cabriolet Fiat 500C : à partir de 19 100 CHF,
  • La familiale Fiat 500L : prix de base à 19 890 CHF,
  • La petite Panda : à partir de 10 750 CHF
  • La Tipo Berline Street, à partir de 14 500 CHF
  • La Tipo 5 portes, berline familiale compacte à partir de 16 125 CHF
  • La Tipo Street Station Wagon, idéale pour le jeune conducteur, tarif de base autour de 16 000 CHF.

Les 4X4 et crossovers :

  • La Panda 4x4, disponible en essence et diesel, à partir de 17 500 CHF,
  • La Panda Cross 4x4, à partir de 20 200 CHF,
  • La Panda City Cross, à partir de 140 000 CHF,
  • La Panda City Cross Hybrid Edition, une version hybride de la City Cross, à partir de 10 750 CHF.  
  • La Fiat Tipo Station Wagon, un break à partir de 17 400 CHF,
  • La crossover 500 X, à partir de 23 300 CHF. Inspirée de la Jeep Renegate, elle se décline en 3 versions : la 500X look cross, la 500 X look urbain, la 500 X Sport.

Les modèles bénéficiant d’une offre spéciale :

  • La Fiat 500 hybride : offre de location longue durée sur 37 mois. Payable à partir de 150 CHF par mois avec un apport de 1950 CHF. Cette offre, uniquement réservée aux particuliers et non cumulable avec d'autres en cours, est valable jusqu'au 30 juin 2020. 
  • La 500 X : jusqu’à 5900 CHF de remise sans condition. Sinon, vous pouvez opter pour une location de longue durée à partir de 180 CHF/mois sur 37 mois. L’apport initial pour la LLD est de 4 250 CHF. Offre non cumulable et valable jusqu’au 30 juin 2020.
  • La 500 L : jusqu’à 3400 CHF de remise.
  • La Fiat Tipo : jusqu’à 215 CHF de remise.
  • La Fiat Panda : Prix promotionnel à partir de 5400 CHF, une prime de 3200 CHFà la conversion, un bonus Eco Fiat de 1600 CHF. Cette triple offre est soumise à quelques conditions (à voir sur le site du constructeur), réservée aux particuliers et valable jusqu’au 30 juin 2020.
  • La Fiat Panda City Cross Hybride : Prix promo à partir de 10700 CHF, 1600 CHF de prime à la conversion et une déduction de 1600 CHF bonus Eco Fiat. Offre sous conditions, non cumulable et valable jusqu’au 30 juin 2020.

Le contrat Optimisme Fiat

Fiat lance en France le contrat Optimisme, une déclinaison de son slogan « Fabricant d’Optimisme ». Jusqu’au 30 juin 2020, la marque propose cinq offres cumulables :

  • Le paiement ne débute qu’en 2021 (hors assurance), quel qu’en soit la modalité choisie, pour toute commande effectuée pendant le mois de mai.
  • Une remise sans condition est accordée aux véhicules prêts à partir. Cette offre s’applique sur toutes les voitures Fiat, hormis les modèles Panda et City Cross.
  • Vous profitez d’un crédit à taux zéro sur 36 mois, hors assurance. Si vous avez besoin d’une échéance à plus longue durée, il est possible de payer un taux de 4,5% sur 60 mois.
  • Vous disposez de l’option pack D-Fence by MOPAR. Ce pack, conçu pour purifier l’air dans l’habitacle, est préconisé pour réduire les risques de contamination du Covid 19.
  • Une garantie constructeur de 10 ans (soit 100 000 km) est offerte sur l’ensemble de la gamme.

LES MODELES A VENIR

Pour 2020, la marque Fiat a confirmé l’arrivée de ses véhicules électriques hybrides légers (MHEV), dont les nouvelles versions de la Panda et de la Fiat 500. Elles remplaceront toutes les vieilles citadines à essence, appelées à disparaître d’ici 2024.

La nouvelle Fiat 500 Électrique

Le lancement de la nouvelle Fiat 500 était prévue pour le 90ème salon de Genève 2020, annulé à cause du Coronavirus. Presque identique à l’ancienne version de 2007, elle gagne 6 cm de plus en longueur et 2 cm de plus sur l’empattement. Le capot avant est redessiné, moins horizontal mais plus méchant avec son regard acéré (la partie haute des projecteurs est incrustée dans le capot). La calandre réserve aussi une surprise : l’omission du logo Fiat. Désormais, FCA ne met plus l’accent sur Fiat mais sur les chiffres « 500 ».

Le lancement de la nouvelle Fiat 500 était prévue pour le 90ème salon de Genève 2020, annulé à cause du Coronavirus. Presque identique à l’ancienne version de 2007, elle gagne 6 cm de plus en longueur et 2 cm de plus sur l’empattement. Le capot avant est redessiné, moins horizontal mais plus méchant avec son regard acéré (la partie haute des projecteurs est incrustée dans le capot). La calandre réserve aussi une surprise : l’omission du logo Fiat. Désormais, FCA ne met plus l’accent sur Fiat mais sur les chiffres « 500 ».

Concernant la motorisation, elle dispose d’un moteur de 87 kW et une batterie de 42 kW. L’autonomie peut aller jusqu’à 320 km et vous pouvez toujours recharger votre batterie avec un courant de 85 kW. Il vous suffit d’une demi-heure pour la recharger à 80%, et de 9 secondes pour passer de 0 à 100 km/heure. La vitesse maximale est maintenue à 150 km/heure.

Le tarif de base est situé aux alentours de 32 000 CHF. Toutefois, ce prix ne s’applique pas aux versions de luxe signées par de grands stylistes comme Bulgari, Armani ou le roi du plexiglass Kartell. Ces Fiat 500 haut de gamme, prévues pour la vente aux enchères lors de leur lancement, ne sont pour l’instant que des modèles uniques ou one-off.

La Fiat 500 Georgio Armani

On se souvient du succès de la Mercedes CLK 500, un cabriolet réalisé avec la touche de Georgio Armani en 2003. Le célèbre couturier collabore cette fois-ci avec FCA pour le prototype « haute couture » de la Fiat 500. Baptisée 500 Armani, cette Fiat électrique arbore un look masculin, sobre mais élégant. La carrosserie, peinte en gris-vert avec un reflet de soie, est rehaussée par les vitres de couleur ambre. Ces teintes sombres sont cassées par le regard acéré des phares avant, incrustées dans le capot. Un grand logo « GA » se dessine aussi sur les jantes et la capote.

A l’intérieur, les nuances se retrouvent aussi sur les sièges : cuir naturel en noir, pleine fleur et intégré de bandes de laine à micro-chevrons. L’insert du tableau de bord reflète dignement le luxe raffiné de l’Armani Casa : un revêtement en bois reconstitué à pores ouverts, subtilement incrusté d’aluminium. En quelques mots, la Fiat Armani conjugue à merveille la high-tech, l’authenticité des matériaux, le style épuré et tout ce qui caractérise l’élégance Armani.

La Fiat 500 Kartell

Kartell s’attaque à la nouvelle Fiat avec tout un arsenal de matériaux écologiques : peinture éco-chromée, polycarbonate et polyester recyclés. Les coques des rétroviseurs, les jantes et la calandre sont fabriqués à partir de projecteurs paraboliques recyclés. Leur design en dentelle, reproduit sur le tableau de bord et le motif des sièges, fait allusion à la texture du lampadaire Kabuki de Kartell.

La carrosserie, en bleu Kartell, a un effet miroir. Sa couleur vive entre en contraste avec la luminosité des phares et de l’habitacle. Le revêtement des sièges est également réalisé avec du polyester recyclé, donnant à s’y méprendre l’air d’un tissu en textile et du cuir naturel. Kartell réussit ici la combinaison savante de l’esthétique et du développement durable, des critères imposés par Fiat.

La Fiat B.500 Mai Troppo de Bulgari

Modèle unique, la Mai Troppo est une collaboration de FCA avec le joailler italien Bulgari. A voir les photos sur le site de Fiat, la Mai Troppo resplendit avec sa carrosserie en safran impérial, une peinture intégrée de poudre d’or et de nacre. Outre l’aspect doré, les seuils de porte et d’éléments moulés frontaux sont traités avec la technique du vitrage. Les jantes, dessinées en forme d’étoile romaine à 8 branches, sont laqués de noir. Bvlgari surligne ensuite les bordures avec de l’or pour mettre les rayons en relief.

L’insert latéral est orné du logo « B 500 », pavé de diamant et signé de la fameuse étoile Bvlgari. Ce logo est reproduit au centre du volant, avec quelques détails encore plus impressionnants : le B n’est plus là, mais le 5 et les deux zéros sont incrustés d’améthyste (bleu), de citrine (rose violacée) et de topaze (orangée). Leurs teintes s’harmonisent bien avec le tableau de bord revêtu de soie, peinte à la main avec des motifs en paons. Ce logo sur le volant, un bijou à part entière, peut être détachée et portée comme une broche.

Les sièges, en cuir octane teinté de bleu canard, arborent sur l’appui-tête une broderie en fil doré « Bvlgari ». Les bordures des sièges sont rehaussées du même tissu en soie qui recouvre le tableau de bord. Quant à la clé, elle est entièrement en or et décorée avec une pièce de monnaie datant de l’époque romaine.

La dernière fois que Fiat a mis de l’or et des diamants dans ses modèles, c’était en 2010 avec le modèle unique Fiat 500C Oro e Diamanti 200 HP. Ce dernier coutait déjà 540 000 CHF à l’époque mais pour le joyau Mai Troppo, il sera mis aux enchères lors du 90ème salon de Genève. On attend avec impatience.

POURQUOI NOUS CHOISIR?

  • Spécialiste des voitures italiennes à Lausanne
  • Un accueil et service de qualité
  • Un personnel qualifié et formé
  • Votre concessionnaire agréé
  • A votre service depuis 40 ans

NOS DERNIERES NEWS

Back to top
Alfa Romeo
Fiat
Abarth
Lancia
Fiat Professional
Kia
Contact